
C’EST COMMENT QU’ON FREINE – ALAIN BASHUNG et LOISOBLEU
Las
devant mon journal éteint
pour ne pas quitter la certitude de ta main
j’écrase le poste de mon vaque sain
Oh non
pas être comme un pair Ok qui dit bon jour à chaque fosse nouvelle.
Niala-Loisobleu – 26 Janvier 2021
Pousse ton genou, j’passe la troisième
Ça fait jamais qu’une borne que tu m’aimes
Je sais pas si je veux te connaître plus loin
Arrête de me dire que je vais pas bien
C’est comment qu’on freine
Je voudrais descendre de là
C’est comment qu’on freineCascadeur sous Ponce-Pilate
J’cherche un circuit pour que j’m’éclate
L’allume-cigare je peux contrôler
Les vitesses c’est déjà plus calé
C’est comment qu’on freineTous ces cosaques me rayent le canon
Je nage dans le goulag je rêve d’évasion
Caractériel je sais pas dire oui
Dans ma pauvre cervelle carton bouilli
C’est comment qu’on freineJe m’acolyte trop avec moi-même
Je me colle au pare-brise ça me gêne
Ça sent le cramé sous les projos
Regarde où j’en suis je tringle aux rideaux
C’est qu’on freine
Je voudrais descendre de là
Ben oui…mais justement je n’aurais jamais du freiner aujourd’hui….
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Si à pro tester contre l’indifférence de non-grévistes qui t’envoient au fossé en accord avec les geleurs de voix parallèles …
N-L
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Moi aussi je m’acolyte trop avec moi-même. Heureusement l’art et son partage permettent de sortir un peu de soi. Merci pour cet article
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