CE JARDIN D’EAU VIVE
Dehors tout déverse
Peindre à la pluie d’un seul coup me prend
Seul moyen d’en faire du soleil
La mer se tourne, roule, un gémissement de baleineau, plusieurs claquements d’albatros, deux enfants surgissent, secoué d’un bord à l’autre je monte et descend, quelle écume, ça décharge et tape aux flancs, mes intestins déplient leurs bretelles, la nacre du bouton luit en se démultipliant
Ce tango soulève, renvoie, gîte à dessaler
A la place du mât la quille prend son tour, l’hélice mouille comme un orgasme à déplacement
Le Jardin sous la Mer
en poussant le noir des eaux usées met les Neuves en service
L’Atelier a tenu parole et j’ai repris mes marques.
Niala-Loisobleu – 21 Novembre 2019
Tu auras chaque fois parlé du grand soleil au limon que tu creuses obstinément. Ceux dont le regard couvre la mer vont patiemment l’un contre l’autre…
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Près du cabestan, je soulève le mauvais tant plus haut que les cuisses
il faut du soleil au jardin à rosée
La mer ne couche pas au premier rayon, d’autant qu’on lui a fait le coup du shaddock inépuisable comme la faire du siècle. La pipe à eau se tient derrière le voile comme un pompier incendiaire. Je garde les yeux de dents…
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Il n’y a que beau tant, mon…
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