AQUA TEINTE
Si jamais j’oublie resèche-moi la mémoire
la pluie manque de toi pour se sentir à l’abri
Le cheval cherche le gai pour passer l’averse horizontale sur un trottoir vertical
englouties dans la terre molle les empreintes en appellent aux lèvres du labour
pour pas que le cri araire rouille
J’ai vu le vol de l’oiseau emporté par le flot entre les jambes couchées de la forêt
Si jamais j’oublie
balance vite la bouée de tes seins
je reconnaîtrai entre toutes la voie de ton soleil.
Niala-Loisobleu – 17/10/19
C’est vrai qu’il est curieux ce temps suspendu qui semble flairer les catastrophes…Il nous faut un abri sûr, Mon…
J'aimeAimé par 1 personne
Dans ce qui grouille n’apparaissent que remous
s’en est allé
jusqu’à l’odeur humaine
le vélo te veux en celle, Ma…
J'aimeAimé par 1 personne