De cette chose qui trépigne à l’arrêt
Vive de chaleur
Profonde d’un autre regard
Où des hordes sauvages se suivent sans jamais se ressembler
La pensée qui l’amble chante comme un nom de sas
Écluse
Ma
N-L -15/05/19
De cette chose qui trépigne à l’arrêt
Vive de chaleur
Profonde d’un autre regard
Où des hordes sauvages se suivent sans jamais se ressembler
La pensée qui l’amble chante comme un nom de sas
Écluse
Ma
N-L -15/05/19
Une piscine debout c’est pas vrai que ça n’existe pas, car sinon j’aurai la tête couchée restée au bord de moi. L’autre versant de soi. Mais ne pas se reconnaître m’est impossible
L’enfant se déplace dans un monde ailleurs sans jamais se perdre. Les gens , allez savoir pourquoi, aiment les attirer dans celui de la peur. Je pense qu’ils ne pardonnent pas d’avoir grandi qu’en taille.
Je suis allé plus loin que ta bouche
Envie satisfaite de te parcourir l’intérieur. Larynx, ça des cendres loin
L’absolu
Lâche son sein en millions de tétins tendus
Je suis allé à la source de ton nombril, cheminé
Tu remues en moi en explosions d’étoiles, diva, diva retrouvant la corde de la voie de surface
Amour qui pond en gouttes de vie…
Le mot juste du silence à perte de vue…
Niala-Loisobleu – 15/05/19