SUR LA VOIE
Au bout des paroles la chanson continue, le fleuve met au large
tant d’oiseaux blancs le bordent comme on lit à l’enfant pour qu’il s’endorme
la voile avalera les bruits de moteur
Glissent les gares des mariages de la voie secondaire
train de campagne qu’une guerre du rail surveille de son poste d’aiguillage
Les jardins publics au bord du grand-bassin culottés petit-bateau pour la première croisière, le cheval a gagné la queue du Mickey
Trop de valises perdues en consignes de sales attentes
On prend femme ou mari
mais qu’en est-il pas même le reste d’un enfant
juste un mouchoir au bout du quai
Le tant faute
te voici
en vie
qui coules de cette couleur du temps
Les orgues laissées derrière l’église, tu parvis un oui pour mon nom.
Niala-Loisobleu – 7 Mars 2019
Le oui qui m’accompagne a les silences de cette chanson -là, ces silences qui disent tout en ne disant rien…La strophe mélancolique de l’entente sublime…
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Je le sais parce qu’en plus j’ai au fond de mes yeux la navigation sur le Mékong, le delta, l’école,le pont Pasteur de Saîgon à Hanoï, les oiseaux blancs en longue traîne…
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La biquette à la traîne au de vent …t’embrasse ma Julie.
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Et Delphine derrière en avant pareillement…
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Quand à Hélène Marthe si elle imaginait quel label a un de ses prénoms, elle ne pourrait plus croire que le hasard pourrait exister…
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Certes pas…
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