GRAIN D’AILE
Brillant d’avoir été au frais, sorti en commençant à chauffer le soleil tenait d’abord à éclairer. C’est vrai les intentions n’ont pas toujours l’apparence du regard que l’on peut avoir.
J’ai allumé l’atelier de l’intention de franchir, il n’a pas crispé , pourtant on dirait qu’il glace j’allume aussi Mozart, entre fous on s’entend mieux.
Que le bleu mette en marche, juste ses ouvertures de rues dans cet espace infini d’un quartier inhabité de tours dévoreuses. La barque tremperait aux cuisses du confluent, la pureté retenue au bief du moulin à marées. Le bruit du lit de la rivière, ne froisse pas les bras.
Niala-Loisobleu – 03/11/18
Les hautes lampes font chaud dedans mon Alain…
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Le cristal s’est rempli. Un philtre fouille pur se placer en trémie de granulométrie. Harnaché, reins tendus le remorqueur décolle le train. Des cornes la brume se détache. Le pré est tourné vers. Au départ la couleur n’écoute que la lumière pour guide ma Barbara…
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Je vois ça à l’instant, sa part d’éternité…
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C’est en cours comme une rivière
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