APARTÉ
Mais le ciel, qui voudra l’ouvrir à l’ombre que je fus ;
Et l’innocence de l’oubli, qui vous la donnera, mémoire,
Songes que la douceur n’a pu désaltérer, et toi
Sanglant désir rôdeur sous ce crâne d’ours.
Jacques Réda
M’arrachant l’ortie pour m’en faire la soupe, je pris son élégance et me la mis en silhouette, comme un enfant ne peut voir que le sein emplir sa bouche comme raison de vivre.
Sa robe baillait belle, j’étais à l’écoute de sa version d’Indiana Song. Envoûté et sous le charme de sa réalité qu’un neuroleptique absent ne chimique pas, mais vous ne saurez jamais par quelles portes nous avons accès à notre absolu.
Ils auraient dit le diable en demandant au charbonnier d’aller quérir du bois à bûcher. Reste que ce qu’ils peuvent avoir dans l’esprit n’est certainement pas sain.
Sonne Mâtine, en décroisant les rais des parties obscures, fais ton genou clair. Le cheval a vu l’endroit où ton corps l’attends pour monter
Niala-Loisobleu – 17 Mai 2018
Les portes de derrière donnent côté jardin…
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Je les emprunte pour mon plus grand bonheur, elles traversent le carré de menthe sauvage…
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ça donne beau thym…
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La terre l’ocre d’un art Gilles dont la joie tintinnabule aux sabots !
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L’argot tique à la la bottée de tes mots..
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La beaute de créé son trou où se cacher…
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en terre meuble…
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Riche taire qui délie la langue d’un m’aime cri…
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Un espace se fait dans l’écart du nuage, merci viduite.
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Merci marcello comitini
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Merci Zoryana.
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