La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
9 réflexions sur “Christine Angot – Hommage fait à Marguerite Duras, du ravissemen”
Ce fut une telle révélation le Ravissement de Lol.V.Stein lu à 14 ans qu’à 22 je décidai d’en faire l’objet de mon mémoire de maîtrise…Je l’avais écrit d’une traite, totalement enfiévrée.Le Monsieur qui m’écoutait et qui était un spécialiste de Duras, Monsieur Jean il s’appelait (j’avais lu son livre et je l’avais trouvé terne…), était resté silencieux puis m’avait dit que je comprenais mieux Duras que lui…Voilà comment j’eus un 20 qui ne disait rien en corps de la façon dont je la comprenais…(le sujet réel était : la relation à l’autre femme: l’amie, la rivale, la mère, dans 5 romans de Marguerite Duras.)
Dans ma vie, plus tard jamais elle ne m’a quittée même si j’ai du la rejeter loin comme un vide et le comblement de ce même vide que l’on refuse à certains moments de notre existence parce que ce n’est pas encore le temps de cet effort-là…Mais j’y suis toujours revenue.
Marguerite comme Jacques Dupin d’ailleurs, c’est appeler l’éboulement dans l’espoir d’une fleur au fond du ravin. Il faut y être prêt. Et c’est dur et grave d’y être prêt.Parce qu’il faut savoir qu’on a été trop longtemps ravie pour pouvoir devenir ravie…
Merci Merci Alain.
Le fait de savoir que derrière cette vidéo il y aurait un échange bien autre que celui du traditionnel va-et-vient d’internet se suffirait en tant que plaisir pour éviter remerciement. Tiens imagines une envie de poser un simple bouquet de fleurs champêtres sur ton chevet…et tu y seras ma Barbara.
Ce fut une telle révélation le Ravissement de Lol.V.Stein lu à 14 ans qu’à 22 je décidai d’en faire l’objet de mon mémoire de maîtrise…Je l’avais écrit d’une traite, totalement enfiévrée.Le Monsieur qui m’écoutait et qui était un spécialiste de Duras, Monsieur Jean il s’appelait (j’avais lu son livre et je l’avais trouvé terne…), était resté silencieux puis m’avait dit que je comprenais mieux Duras que lui…Voilà comment j’eus un 20 qui ne disait rien en corps de la façon dont je la comprenais…(le sujet réel était : la relation à l’autre femme: l’amie, la rivale, la mère, dans 5 romans de Marguerite Duras.)
Dans ma vie, plus tard jamais elle ne m’a quittée même si j’ai du la rejeter loin comme un vide et le comblement de ce même vide que l’on refuse à certains moments de notre existence parce que ce n’est pas encore le temps de cet effort-là…Mais j’y suis toujours revenue.
Marguerite comme Jacques Dupin d’ailleurs, c’est appeler l’éboulement dans l’espoir d’une fleur au fond du ravin. Il faut y être prêt. Et c’est dur et grave d’y être prêt.Parce qu’il faut savoir qu’on a été trop longtemps ravie pour pouvoir devenir ravie…
Merci Merci Alain.
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Le fait de savoir que derrière cette vidéo il y aurait un échange bien autre que celui du traditionnel va-et-vient d’internet se suffirait en tant que plaisir pour éviter remerciement. Tiens imagines une envie de poser un simple bouquet de fleurs champêtres sur ton chevet…et tu y seras ma Barbara.
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Duras n’inspire pas le sentiment tiède…
Il est beau ce bouquet….
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L’odeur d’un bois proche…
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oh oui…
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Tremblant de l’intérieur..,
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Merci lesfaitsplumes
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Merci Euphrosyne (@jemedisperse)
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Merci Zoryana.
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