Un chien court rejoindre son matin
A travers l’écorce
un chemin se fait canif aux poignées
il reste rien à cueillir dans les rizières sèches
le printemps a toujours poussé de vent la flamme de l’offrande
Les vertes herbes ouvrent la tige, oh respire, chaque jour et plusieurs fois la marée suit le mouvement perpétuel de la renaissance
Si il neige c’est un dérèglement que les hommes s’affairent mieux que personne…tiens les deux bords au plein milieu, comme des enfants portent la traîne de la mariée à l’écart des grandes orgues.
Bien sûr que tu peins en corps…
Illustration: Pierre Bonnard
Niala-Loisobleu – 19 Mars 2018
Bonjour Anne, content de te revoir, Solidor attendais…
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L’habitude affadit le plus pimenté des concepts…je romps le mauvais temps…
Merci Boris.
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Ce que le seuil prête au miroir m’inspire des rousses heures…
Merci Barbara.
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Quelques touches au bout du doigt, ça sent la peinture…
Merci dilip.
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Merci Christophe
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Merci MioModus.
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