Comme le peignant à nouveau
debout
face à ton écritoire
je chevalet ruant des quatre
attrapé par la crinière comme par l’aqueux
quel cheval d’art son…et lumière
La tienne évidemment
Que c’est beau quand tu me repeins de ce regard posé sur l’étoile
Merci tellement Barbara.
N-L
CHANGEMENT DE VITESSE AU VOLANT D’UNE ROUSSE
Le souffle coupé j’avale ton miel
je mords âprement à ton millefeuille
je suis le feu je grimpe aux cordages
de l’arbre du bien et du mal : vorace,
Carnivore, pirate éperdu, je te mange
je te bois, je te dévore en macho fou
de tes
Indes occidentales fou perdu
de ta galerie de fête et de mystère
je vis ta conque en voyageur inassouvi
au moulin à magie et à café fort noirs
où je mouds le bonheur en poudre de sucre roux.
René Depestre
Un vitrail filtre tes mots qui m’arrivent en lumière, ouvrant ma boîte de couleurs comme la main va au fruit..
Merci Barbara.
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C’est bien…
Il faut grandir avec douceur et démesure.Rajeunir les gouffres, parquer les rois, s’enorgueillir.
Les fenêtres sauvages et les amours prostrées donnent sur un parfum…
Le Palimpseste/ Jacques Dupin.
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Détruire
Déféquer sonremâché du papier
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Détruire dit-elle.
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Déféquer son rabâché et s
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Marche pas l’IPhone grrr…
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Il défèque en effet on dirait…
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Heureusement le reste va !!!
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Et le jour fait tourner les ailes, merci dilip.
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