La chambre de Don Quichotte.


Comme le peignant à nouveau
debout
face à ton écritoire
je chevalet ruant des quatre
attrapé par la crinière comme par l’aqueux
quel cheval d’art son…et lumière

La tienne évidemment

Que c’est beau quand tu me repeins de ce regard posé sur l’étoile

Merci tellement Barbara.
N-L

9 réflexions sur “La chambre de Don Quichotte.

  1. CHANGEMENT DE VITESSE AU VOLANT D’UNE ROUSSE

    Le souffle coupé j’avale ton miel

    je mords âprement à ton millefeuille

    je suis le feu je grimpe aux cordages

    de l’arbre du bien et du mal : vorace,

    Carnivore, pirate éperdu, je te mange

    je te bois, je te dévore en macho fou

    de tes
    Indes occidentales fou perdu

    de ta galerie de fête et de mystère

    je vis ta conque en voyageur inassouvi

    au moulin à magie et à café fort noirs

    où je mouds le bonheur en poudre de sucre roux.

    René Depestre

    Un vitrail filtre tes mots qui m’arrivent en lumière, ouvrant ma boîte de couleurs comme la main va au fruit..
    Merci Barbara.

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  2. C’est bien…
    Il faut grandir avec douceur et démesure.Rajeunir les gouffres, parquer les rois, s’enorgueillir.
    Les fenêtres sauvages et les amours prostrées donnent sur un parfum…
    Le Palimpseste/ Jacques Dupin.

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