Et maintenant aux fesses
« Et maintenant, aux Fesses !
Je veux que tu confesses,
Muse, ces miens trésors
Pour quels — et tu t’y fies —
Je donnerais cent vies
Et, riche, tous mes ors
Avec un tas d’encors.
Mais avant la cantate
Que mes âme et prostate
Et mon sang en arrêt
Vont dire à la louange
De son cher Cul que l’ange.,
O déchu ! saluerait,
Puis il l’adorerait,
Posons de lentes lèvres
Sur les délices mièvres
Du dessous des genoux,
Souple papier de Chine,
Fins tendons, ligne fine
Des veines sans nul pouls
Sensible, il est si doux ! »
Paul Verlaine
Et puits d’amour allons tirer l’ô ma Célestine !
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Un haut de poésie que celui-ci !
Merci smokyfeelings.
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Une référence que celle de Verlaine ! En la matière un très sérieux explorateur des lieux !
Je t’embrasse comme tout rebondi Audrey !
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De la beauté sensuelle de l’érotisme.
Merci Sisyphus47.
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Bon jour,
Au festin, aux fessiers fessement dressement bons, toute cela est bien … sain 🙂
Max-Louis
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A ne plus les vouloir assises autrement qu’au palais, une mise en bouche qui quelque soit le coin vous rapproche d’Ah liche en merveille, mon cher Max-Louis.
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Excellent, j’adore 🙂
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En voilà une double fleur qui mérite d’être questionnée pétale après pétale, Marguerite !
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Oh Verlaine 💙
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Un sacré jongleur Verlaine !
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Les doigts vers…
Merci Isoptech
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Quand elle me dit, j’ai envie que tu me festes, je ne pus retenir mes mains !
Merci michema.
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