UN JOUR QUE JE VAIS ALLER
DEJEUNER CABANE
Le soleil avance
au travers de la fin de nuit
On ne le voit pas encore
il n’empêche que le creux a frémi
Nappé de glace
ce Dimanche tend son assiette au dessert
Entre deux pages
tu marques toujours la suite
Quand l’oiseau ruisselant passe dans les buées de la douche, l’air chaud souffle à toute vapeur. Tes seins omnibus s’arrêtent sans crier gare. De la droite comme de la gauche je pouce au stop en continu. C’est Dimanche j’irais te chercher sous les housses de la salle-à-manger, les enfants sont à côté de leurs devoirs à jouer aux billes, grand-maman laisse augurer voir plus loin sous les brise-bises. Je ne parle pas d’aller prendre les zoos, voilà bon temps que j’ai dérouillé les cages de mes drames ô .Une rémouleuse affûte son plan d’ô. C’est le pompier de service qui va être content. Ma foi, chez les gens simples on se fait pas de noeuds à la cravate, on porte pas de chemise à nuiser. Sur les bancs les moineaux répètent avec le coeur armé rouge Bien sûr que je t’aime, idiote, reste bête j’t’aime animale.
Niala-Loisobleu – 26 Novembre 2017
Raides de gel les cheveux de l’herbe se disent que le vent peut souffler on a le cran à marées.
Merci ivanitch.
J’aimeJ’aime
L’huître est bien peinarde dans sa claire, encore quelques jours de vacances avant la ruée de faim d’année. On pourra causer tranquilles à midi.
Merci MioModus.
J’aimeJ’aime
Un temps propice à la balade de clôture des festivités anniversaire. Le baromètre plonge, je le laisserai aller nager tout seul, le bord de mer lui a sa chaleur fidèle.
Merci Luciole.
J’aimeJ’aime
Un jour que ça pince c’est idéal pour le crustacé, ma foi, allant à la mer ça peut coller.
Merci beatricelise.
J’aimeJ’aime
Les mouettes montrent la joie qu’elles éprouvent à retrouver la mer pour elles toutes seules !
Merci Boris.
J’aimeJ’aime
Ce jour étant à jour, de retour de cabane, je jure sur la tête de pont à maintenir que ce fut mieux que ce qu’en savais de bon. Le soleil a eu beau viré pluie, ça n’a pas terni la joie de la cabane. Un Dimanche où les vases étaient en fleur de sel dans la marée basse.ma Célestine.
J’aimeAimé par 1 personne
La révolution au sens où je l’entends ayant terminé sa célébration, à quai maintenant le jardin affirme que la cabane n’a rien jeté de ses outils Je laisse les feuilles où jai écrit, elles ont le vert prêt à remonter la branche Je t’embrasse ma Célestine, voici venu le tant de ne pas perdre le sien avec des rois mages
J’aimeJ’aime
Le froid venu, les guitares se tendent les cordes pour faire plus show
Merci joaileblog
J’aimeJ’aime
En ce tant là…merci Vérojardine.
J’aimeJ’aime