Le monde est dans tes yeux ...
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Le couloir.
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Au bout du couloir: une porte…
Pas de clef, juste une lueur
De loin en loin, qui seule apporte
Espoir, perspective et clameurs.
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Et, dans ce couloir: faire un pas
Résonne d’un écho glacial
Se répercutant en trépas,
Dénonçant,comme un choc facial.
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Puis, dans ce couloir: je recule.
Mais son attraction est plus forte,
Même si étant minuscule,
Elle m’inspire et me conforte.
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Au bout du couloir est la vie,
Pas de verrou, rien qu’un rai
Qui voit en mes pas, mes envies,
S’ouvrant sur ce que je serai.
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❤️ Dominic Jacquet ❤️
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Le noir tremble
grince
l’apporte trébuche
glisse
hésite
rampe
se relève
s’appuie
respire
se redresse
suit le rai
la voie de l’appel
et tire de son regard
ses dernières forces
les deux mains
sur le mouvement d’ouverture
de l’apporte
pour sortir du couloir…
N-L – 02/12/16
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La vague scélérate
roule sur la coursive
ohé du bastingage
mains en grappins
je nage…
Merci Michèle
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A toi qu’un mauvais sort père Célestine…
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Comme le guère
où le mythe raille
taire tranchée
un boyau s’ouvre
en lucarne…
Merci Isoptech.
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A tâtons, un fil
cherche le chas
de l’aiguille de peint
en bout du couloir…
Merci Les Gourmands disent
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Le couloir d’eau ayant pris source
petit-poisson aux écluses
prendra l’échelle..
Merci
Manache Poetry
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Un rai vaut mieux que d’eux tu l’or as…
Merci
Ela_F.
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Sont-ce des fausses-proximités, des deux mains en bandoulière, des ô f’heurts qui avortent l’Eros, trop de pas l’heure, de si vous étiez venus hier…trop de contre tant…
C’est vrai qu’en son feu le moitié-homme, moitié-cheval, crépite moins, comme la barque à trop le charger il prend l’eau…heureusement je connais deux adorables équins pur sang d’amour qui vont ranimer la flamme de leur révolution solaire !
Nous ne les priverons pas de bois mon Idéelle, en tirant sur le soufflet nous forgerons !!!
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