UN MATIN
J’ai marché dans l’Autre nuit
étrange sensation de ne sentir de craintes
venues de multiples et qu’importe intentions
tout en sachant que le genre préféré du monde demeure tel qu’à vents
Nous sommes Miracle ou banalité
il me semble avoir fait comprendre
ne croire qu’en la capacité de soi
La pugnacité d’aller au centre de l’Autre
pas dans ce qu’erreurs, maladresses où mouvements fugaces
peuvent induire à ne voir pas le réel de l’Être
Dans son noir et blanc
l’image du quotidien
est une couleur à trouver
Le soleil qui brille
je l’ai pris sous tes cheveux
sous la bretelle de tes seins ballants de vie
Ils tombent
généreux
nourriciers
Tu sais lorsque je t’ai senti mer
au berceau de cette plage, Nous soleil
j’ai pris à deux mains aujourd’hui
Les oiseaux ont séparé le vol de l’inerte
le caillou a balisé
à ton pore je frémis ta respiration…
Niala-Loisobleu – 27 Novembre 2016

D’un créons bien taillé, les petites maisons mettent leur adresse au bleu de la venue Célestine.
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C’est chou ! 😉
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[…] via UN MATIN — Niala – Loisobleu […]
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A la remonte, le regain s’apprête…
Merci Elisa.
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Entrer, oui, mais bien au fond, sans frôlements de fuite.
Merci Marguerite
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