LES COPAINS DE BORD
Juste entre ce qui n’a d’importance que ce qui n’est pas mis en racolage divers, voilà tout ce qui résume mon mode de vie. La journée d’hier en est le bon exemple. Un espace de cabane et 17 passagers, vas-y roule ma Poule, on s’est pas plaint d’être pas parti à Vesoul, où d’ailleurs j’aurais pu trouver personne pour cause de départ ailleurs.
Rire quand la sangria fait chanter les guitares au centre du patio, c’est un mélange de fruits dans le vin rouge qui se prend à la paille du chapeau. Le monde, pas un qui ne sache ses turpitudes, l’espagnol en a connu, que civil j’ai vécu. Pour l’autre c’est la santé qui le bouffe comme une vacharde. Quant aux trucs qu’une société en crise est capable d’inventer, y en a pour tout le monde.
Le temps qui se la traînait depuis des mois, était en tête de table. Pas de flotte, un soleil un peu cossard sur la chaleur, mais sans poil à la main pour la présence.On ne pouvait souhaiter mieux.
Alors Tonton Georges dessous sa plage de Sète, nous a embarqué dans son pointu. Puti, croyez-moi, les croisières Costa sur leur bulding-flottant, c’est de l’enflure pour marin d’eau douce. Nous on est tous Capitaine, les présents, les qu’ont posé sac en terre, on a toujours de quoi remplir nos verres !
Pour une fois j’ai pas écrit mais qu’est-ce que j’ai pensé à toi où que tu sois !
Niala-Loisobleu – 5 Juillet 2015
Celui-là de bord d’ailes c’est pas le désordre !
Merci Didier.
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Quand l’humain qui fuit la frime met sa sincérité autour d’une table les mots se sont tenus au dehors du bla-bla-bla !
Merci Madame lit.
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Je bois vos paroles comme le jus d’octobre du Grand Georges.
Oh que j’aime ça…Je suis une brassenssophile depuis toujours.
http://celestinetroussecotte.blogspot.fr/2012/02/la-lettre-n.html
¸¸.•¨• ☆
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La nuit où il est mort j’étais en plein accrochage. Laissant tout en pln j’ai choisi un emplacement dans les lieux où l’exposition devait avoir lieu. Et toute la nuit durant, j »ai réalisé les larmes aux yeux, cette fresque qui est à jamais en place….http://www.niala-galeries.com/news-alain-denefle-niala-artiste-peintre-primitif-moderne.php…
Tonton Georges mon Paname, Sète ….toujours vivant !
Merci celestine.
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Très Haut
Dans un ciel qui tend des bras bleus
Je me suis voyagée
Au-dessus de L’ Atlantique
Je scrutais l’horizon océanique
Comme si un voilier encapitané
D’un éternel petit frère voyageur
M’apparaitrait splendide
Les vagues 30’000 pieds plus bas
Balançaient des esquifs divers…
Du cœur, j’ai fait un grand signe…
Ohé capitaine… Lève les yeux vers l’envers des nuages.
Mon coeur, c’est ma cabane que je roulotte dans mes exils… Mais le soleil bleu des mes amours trouve sa place dans tous les ciels du monde… sais-tu que tu es là? Chuuut ❤️
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Chut libre !
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Alors Fernan tu dois être en vue de tes grands espaces verts que le blanc d’hiver tient sous sa couverture blanche pour rafraîchir les grands voyageurs des pierres brûlées…
Pas trop fatigué ? Physiquement j’entends, L’aventure elle, réveille toujours l’esprit par ses découvertes !
Amicalement.
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