FRAGRANCES D’UN ETE
Le tant d’un passé d’être
a crépi son bleu
au mur blanc d’un souvenir accroché
Reste toujours un frisson
des retraites aux lambeaux
nouées aux cordes d’une guitare
qu’un chien tire sur sa chaîne au travers des notes
tenant la mémoire des promesses
La lune
éternelle
penchée à la portière du rêve
pleure des toiles
en fontaine
dans les senteurs fichées au coeur du patio
Ecrin gardant au frais
les baisers de l’Andalouse randonnée
aux bords de la Méditerranée
La route détachée
traverse
en dehors du clou
la couleur indélébile du tableau
Niala-Loisobleu
27 Juin 2016
c’est beau comme un nuage de fumée ce temps d’avant qui laisse juste comme une odeur de regret.
J'aimeAimé par 1 personne
D’été
le passé carte-postale
en doux baisers
voyage les technicolors
de ses vagues
C’était où ?
Oui voilà
Réapparaît le rythme
d’un pare à sol
en paille
planté au coeur des glaçons
fondant dans la chaleur de ton vert
entre tes seins fruits
au sable du soleil de minuit
Iode y sait de pis
Merci Anne !
J'aimeAimé par 1 personne
Oh, la senteur de ton été
Flotte légère
Aux bleus de tes tableaux
Ouvrant le chemin de l’imaginaire
Qui devient vie ❤️
J'aimeJ'aime
Elle ne devient
que continue !
J'aimeJ'aime
Jolie toile qu’une senteur andalouse nous ravive la mémoire. Merci pour ce partage. bonne soirée
J'aimeJ'aime
Une toile pour garder le Cordoue dans l’arène
Ah quelle bonne soirée !
J'aimeAimé par 1 personne
Un espace si bien rempli qu’on dut écarter les parenthèses !
Merci Elisa.
J'aimeJ'aime
Merci beatricelise.
J'aimeJ'aime