Close To My Fire
M’allume
ouah
M’étincelle
ouah
Et m’dit qu’mon pétard
c’est pas un artifice
ouah
Mais son grand soleil !!!
Niala-Loisobleu – 08/06/16
M’allume
ouah
M’étincelle
ouah
Et m’dit qu’mon pétard
c’est pas un artifice
ouah
Mais son grand soleil !!!
Niala-Loisobleu – 08/06/16
Nous avons une terre avec nos paysages qui ne sont a personne d’autre qu’à nous.Nos petits vélos font l’à cheval sur mon bidet qui s’en balance de la gueule de circonstance qui fait pencher le ciel du côté qui pourrait vomir. En face des fois, plus souvent m’aime qu’on voudrait, l’icelle ou i-celui qui a une moitié de l’ensemble et plus que ça subséquemment, n’est plus bon. Un signe d’erreur non dissimulé. Se refaire les paramètres à la taille de nos ambitions en voilà une idée qu’elle est bonne. Qui que tu sois tu referas pas le monde.
Une seule solution vivre dans le sien mis en jardin dans la friche collective.Je suis venu ce matin, encore pas lavé d’hier. Au moment plein qu’on passait entre deux cabanes, dans les fleurs où jamais personne n’entre. Elles sont là. Devant tout l’monde. Vécues comme le mauvais trottoir d’une rue commerçante.
Avec du papier ciel
j’ai frotté un bout de bois flotté
d’où qui venait, j’en sais rien
je l’ai entendu parler
Quand j’ai posé l’oeil sur le son
j’ai entendu que t’avais rien sur la peau
On cause en corps à l’heur qu’il est
Quand je regarde l’eau aller d’un bout à l’autre du sel, je mélange tout de mon âge. La peur pousse ma témérité à se prendre pour un flibustier. J’aborde ta coque par les deux bords, faut dire que ton architecture navale me transforme en bouteille de champ boulimique de baptême. Tu vois ces vignes de sable font peut-être une mauvaise piquette, on s’en fout, parce qu’à courir sans palisses on a les pinèdes qui rendent bon le pin quotidien.
Niala-Loisobleu – 08/06/16