Tu peux tirer l’échafaudage m’est avis que tu tiens debout en corps
Je ne me laverai pas les pieds. Trop marché ce après-midi dans le regard que tu me disais en me montrant l’éclat de rire de la mouette qui laissât aux vases du chenal la marque du tampon de vie. Simple trace d’un visa pour l’amour vivant bien au-delà de la mort. Un grand bateau blanc passa sur la route. Allant à la cale prendre l’ô à deux bras.
Tu peux tirer l’échafaudage m’est avis que tu tiens debout en corps. Vu comme les fleurs passaient au-dessus de l’ombre, il te reste de la lumière en tige.
Niala-Loisobleu – 07/06/16
En fermant les yeux le tant qu’il faut, l’horreur journalière en demeurant consciente ne me bouche rien de ta beauté mon Amour, tu es aux jours de merde celle qui me voyage sans besoin de papier. Libre.
Merci beatricelise
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Depuis le temps que je promène ma curiosité vive, elle et moi, on se ménage des surprises tellement je pense qu’on est bons joueurs !
Merci ‘vu
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Qu’on soit de cette marée ou de l’autre ça laisse la même eau au sel.
Ça nous lie au grain.
Merci Francis.
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Et si le ciel retournait l’eau, peut-être que les hommes ne marcheraient plus sur leur tête ?
Merci Sally.
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Sur le bord de mer, les tamaris prennent la forme du vent, leurs fleurs chantent debout dans la tempête !
Merci Elisa.
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En passe de muter invertébré quand, au hasard de l’homme, on rencontre un droit de la tige qui en fait devoir, doit-on faire une photo ?
En voilà une question qui restera sans réponse, toutes celles qui pourraient venir étant de nature à ignorer le problème
Merci Jean-Paul.
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Tenir debout c’est autre chose qu’être que de boue…
Merci Globe-T. .
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